Les motos que j'ai eues et celles que j'ai encore

Index
#)

Marque, modèle
possession
1)

Montesa Cota 123
1979 - ce jour
2)

Moto Guzzi 850 Le Mans II
1983 - 1983
3)

Honda VT 500
1985 - 1987
4)

Kawasaki 1000 RX
1987 - 1989
5)

Honda CBR 1000 F
1989 - 1990
6)

Moto Guzzi 1000 SP III
1990 - 1995
7)

Motoconfort T2 175
1992 - ce jour
8)

Ducati 900 SS M.H.R.
1993 - ce jour
9)

Ducati 900 Monster
1995 - 1997
10)

Aprilia 6.5 Starck
1997 - 2002
11)

Harley-Davidson 1200 Sportster S
1998 - 2002
12)

Ducati 900 Monster S'00
2000 - 2006
13)

Yamaha FJR 1300
2002 - 2006
14)

Yamaha FZ1 naked
2006 - 2007
15)

Yamaha Tricker 250
2006 - ce jour
16)

KTM 950 sm
2007 - 2010
17)

KTM 990 SuperDuke
2010 / 2013
18)

KTM 690 Duke 2013
2013 / 2015
19)

Yamaha MT-09
2015 à ce jour


Montesa Cota 123

1) Montesa Cota 123   /   1979 - ce jour

Ma première "moto"; une moto de trial avec laquelle j'ai passé mon permis route !
Cette moto m'a tout appris sur le comportement d'un 2 roues sur terre comme sur route; que de gamelles...
Et pour la ville, ce n'était pas mal non plus; aucun escalier ne me résistait.
Mais le top, c'était quand même les obstacles en terrain (évidemment).
Aujourd'hui, cette moto est en pièces détachées, chez Nik et DD, à attendre Dieu seul sait quoi.

2) Moto Guzzi 850 Le Mans II   /   1983 - 1983

Puis j'ai acheté une routière sportive;
pas n'importe laquelle : cette moto fut la première moto grand public à dépasser les 200km/h;
aujourd'hui, cette vitesse max est banale, mais à l'époque, c'était extraordinaire !.
Je l'ai eue ... 2 mois, environ... je l'ai détruite dans un virage, un jour de pluie.
Cette moto sur la photo n'est pas la mienne; nous n'avions pas eu le temps de la photographier!

Moto Guzzi Le Mans II
Honda VT 500

3) Honda VT 500   /   1985-1987

Que ce fut long avant que je puisse acheter une autre moto...
Esthétiquement, cette petite moto me plaisait beaucoup; j'adorais le look de son moteur en V.
Ses performances,par contre, étaient très médiocres,
et sa tenue de route lamentable : la roue avant se dérobait tout le temps;
Une moto tranquille et sans prétention, mais fiable et pas chère.

4) Kawasaki 1000 RX   /   1987-1989

Bien sûr, dès que j'ai pu, j'ai craqué pour quelque chose de plus performant.
Cette moto avait vraiment un design futuriste pour l'époque, et de très bonnes performances.
A son guidon, je n'avais qu'une seule envie: rouler à fond; et je l'ai fait, bien trop souvent.
Sa stabilité était extraordinaire et les grandes courbes étaient un régal.
Du côté des défauts, signalons un poids un peu élevé et un frein arrière délicat.
Et aussi un manque de sensation de vitesse qui faisait souvent aborder les virages à trop vive allure (pour mes compétences...).
Sur circuit, je me suis bien fait plaisir, malgré quelques tout droits sans conséquences.
J'ai renouvelé l'exploit (du tout droit), bien des années plus tard, avec la 1000 RX à Nabil, mais pas sur circuit cette fois et avec des conséquences bien plus fâcheuses ...
Ma 1000 RX a été volée à la gare de Genève.

Kawasaki 1000 RX
Honda CBR 1000 F

5) Honda CBR 1000 F   /   1989 - 1990

Avant même que la 1000 RX n'appartienne à mon assureur, je me suis acheté cette belle bête.
J'adorais son carénage total, tout en rondeurs. Et les performances étaient encore en hausse.
Côté défauts, à part son bruit de casserole à froid (embrayage je crois), les suspensions étaient vraiment trop molles: avec ma passagère pourtant légère et les réglages de l'amortisseur au maximum, la béquille centrale raclait tout le temps la route. J'ai fini par la virer (la béquille, pas la passagère).
Je l'aimais beaucoup (les deux, la passagère et la moto), et très sincèrement, je ne me souviens pas pourquoi j'ai changé si tôt (de moto). Il se peut que j'avais pris conscience de mon incapacité à maîtriser l'envie de rouler à fond, toujours à fond; alors je me suis puni (à l'époque, je disais lâchement "assagi").


6) Moto Guzzi 1000 SP III   /   1990 - 1995

Voici Jonathan, le neveu de Bego.
J'ai eu un plaisir fou avec cette Guzzi. Certes, elle paraissait d'un autre âge (pas tout à fait à tort), mais à son guidon, je souriais constamment, un vrai bonheur.
Avec ses maigres 69 chevaux, elle se défendait pourtant bien, grâce à une bonne tenue de route et un freinage intégral très sympa.
Et le bruit du moteur ... un régal, encore plus avec les pots italiens.
De plus, ses valises étaient pratiques et volumineuses.
Malheureusement, la finition laissait à désirer et les éléments électriques n'étaient pas fiables du tout.
Moto Guzzi SPIII
Motoconfort T2 175

7) Motoconfort T2 175 cc, 1932   /   1992 - ce jour

Jeune, je m'intéressais beaucoup aux motos anciennes et je rêvais d'en posséder des dizaines. J'ai acheté cette petite moto, produite à environ 150'000 exemplaires, ce qui n'en fait pas une rareté, mais je pensais que c'était un bon début.
J'ai commencé à la réviser mais j'en suis resté au démontage ...
Elle attend donc au fond du garage que je prenne le temps de la remonter; pour ma retraite ?

8) Ducati 900 SS M.H.R.   /   1993 - ce jour

Nous n'avons pas trouvé de photo de la mienne, mais c'est la même, à quelques détails près.
Je n'ai pas pu résister à ce chef d'œuvre. Bien sûr, elle ne tient pas la comparaison avec la production actuelle, mais cela montre bien l'évolution.
Pour s'en convaincre, il faut faire un tour avec !
J'avais toujours rêvé de posséder une Ducati; quand j'étais adolescent, je bavais devant les Pantah 900 SS, mais je ne connaissais pas la M.H.R. (Mike Hailwood Replica).
Aujourd'hui, elle attend sagement dans le garage; chaque année, je me promets de l'immatriculer à nouveau et de rouler un peu avec...

Ducati Mike Hailwood Replica
Ducati Monster 900

9) Ducati 900 Monster   /   1995 - 1997

Puis le démon m'a repris. Comment ne pas craquer devant une telle gueule. Petite, légère, vive, brutale, amusante, précise, envoûtante.

Agaçante aussi : un bruit de ferraille au feu rouge (embrayage), les carbus qui givraient en hiver (même avec le système de "préchauffage" des cuves), des guidonages impressionnants.

Mais quel pied quand même de rouler sans retenue, freinages violents, accélérations brutales, délestage de la roue avant; dommage que les cale-pieds étaient si bas, frottant constamment la route.

10) Aprilia 6.5 Starck   /   1997 - 2002

Encore une fois extrémiste, j'ai voulu fuir le monstre avant de me faire manger tout cru.

J'ai vendu ma Monster à Joël et me suis acheté cette petite moto sympa, au look très spécial, et très, très sage.
Pour la ville, c'était parfait, mais pour les virées, c'était très limité.
Moi qui ne rêvais que de rouler à fond (voir plus haut), et bien là, j'étais bien obligé !

Je vous présente ma nouvelle passagère : Natacha. Je l'amène quelques fois à l'école.

Des défauts à cette moto ? Pas vraiment; plutôt facile, j'aimais bien faire ripper la roue arrière au freinage, mais surtout à l'accélération sur l'angle (si si).
Aprilia 6.5 Starck
Harley Davidson 1200 Sportster S

11) Harley-Davidson 1200 Sportster S   /   1998 - 2002

Quand je roulais avec avec la Starck, je me disais souvent que ce serait super d'avoir plus de cylindrée. Alors j'ai tout simplement doublé, ou presque.

Mis à part le fait que je n'ai pas l'esprit Harley, cette moto m'a plu.

Jusqu'à 120 Km/h, je pouvais suivre tout le monde, et même parfois précéder (quand mes potes étaient sympa).
Le poum-poum-poum Harley est vraiment sympa et il y a toujours suffisamment de couple pour rouler assez vite et se relancer en sortie de virage.
Certes, les câles-pieds raclent trop vite le bitume et la vitesse de pointe est trop basse
, mais on s'y attache.

Mais bon, ce n'était pas une moto suffisamment moderne pour moi.
Et nos virées ont commencé à être plus longues, plus lointaines, plus ... autoroutières.


12) Ducati 900 Monster S'00   /   2000 - 2006

Puis le démon m'a rattrapé !  La Monster ne m'avait jamais vraiment quitté l'esprit.
Un jour, en 1999, je vais chez le concessionnaire Ducati et j'essaie la ST4.
Absolument parfaite... tellement qu'elle en était insipide.

Je fais part de mes impressions dans un e-mail à Ducati, et écris aussi les raisons pour lesquelles je m'étais séparé de ma Monster en 1997 (bruit de casserole au ralenti, impossibilité de rouler l'hiver, guidonnages, délicate et brusque à bas régimes). J'ai ajouté que certains défauts seraient probablement effacés s'ils équipaient la Monster de l'injection électronique...
et 6 mois plus tard, qu'ont-ils fait ? C'est clair que je n'y suis pour rien, mais c'est rigolo.

Le bruit de casserole est toujours là ... On est obligé de monter des pots carbone pour le couvrir !
Ducati Monster 900
Yamaha FJR 1300

13) Yamaha FJR 1300   /   2002 - 2006

Il fut un temps où nous n'empruntions jamais d'autoroutes et très rarement de routes rapides; nous préférions les virolets, les routes de campagne et surtout les routes de montagnes.
Mais voilà, on allait toujours plus loin pour voir d'autres contrées, et inévitablement, les voies rapides se sont imposées.
Ok, pourquoi pas ? Mais pas avec une Sportster, ni une Starck, ni même une Monster;
et puis, l'âge venant, j'ai eu besoin de plus de confort, de ménager mon dos, d'avoir de la place pour mes petites affaires.

Donc voici quel fut mon choix : un gros moteur, très civilisé, habillé de manière assez banale, très sobre, un carénage relativement efficace, deux valises et un cardan.
Malgré son air papy, elle est étonnamment capable d'attaquer comme une sportive, à la grande surprise des autres occupants de la route ou des circuits.

Très peu de défauts à cette moto, sauf peut-être son look beaucoup trop sage; pour être pointilleux, je signalerais un petit défaut d'injection qui donne des à-coups à vitesse stabilisée juste en dessous de 2'000 t/min et une freinage avant un peu mou.

14) Yamaha FZ1 naked   /   2006 - 2007

Pas facile de renoncer au confort de la FJR et revenir à un style plus basic.
Ce choix paraît fou après la FJR; et pourtant, cette FZ1 est tout bonnement bluffante: douce, très douce à bas régime, très facile en ville, elle devient carrément démente à hauts régimes, à la limite du déraisonnable.

Il m'a fallut du temps pour me faire au style, à ce phare et à ce pot. La FZ1 est en fait beaucoup plus belle en vrai qu'en photo;
la qualité des matériaux et la très belle finition participent à ce constat.

A conduire, elle est très facile, très naturelle.
Un peu décevant de prime abord, le manque apparent de pêche est un précieux allié sur routes à pauvre adhérence; la puissance arrive très calmement, sans brusquerie... mais ça pousse quand-même vraiment fort, surtout dans les hauts régimes.

Les défauts sont des rétroviseurs inefficaces (on n'y voit presque uniquement que ses bras) et une selle torture.

Le seul reproche personnel que je lui fais et qui est en fait la raison pour laquelle je m'en suis séparé est probablement sa perfection ... tellement parfaite et efficace qu'elle en est ennuyeuse ! Je ne m'amusais pas avec cette moto; dommage.
Yamaha FZ1
Yamaha Tricker 250

15) Yamaha Tricker 250   /   2006 - ce jour

Je roule trop en ville, et même si les distances journalières restent faibles, mon kilométrage annuel est supérieur au standard des cotes genre L'Argus.
Au moment de la revente, je perds beaucoup d'argent à cause de ça.

En plus, rouler l'hiver avec le sel sur les routes et le mauvais temps n'aide pas à garder sa moto en bon état.

L'idéal, évidemment, c'est le scooter; mais rien n'y fait, je ne peux pas me résoudre à rouler en scooter.

Et puis j'ai vu cette petite moto au look de trial mais plus apte à faire de l'enduro-rando que du passage d'obstacles;
moteur tranquille, fait pour durer, toute petite taille, agile, parfaite pour se faufiler en ville.
En plus de son utilité urbaine, elle est vraiment tout à fait capable de rouler en terrain, chose que j'avais envie de refaire de temps en temps.

Cette hybride sait tout faire ... sauf peut-être de l'autoroute, mais ça, je m'en fous : même avec les grandes routières, je déteste les autoroutes.

J'ai donc fait un peu de terrain et beaucoup de ville; je l'utilise surtout l'hiver, épargnant ainsi l'autre moto de l'agression du sel.

C'est vrai qu'elle est petite; même moi et mes petits 174 cm, je parais ridiculement disproportionné par rapport à cette pétrolette.

Par contre, Jonathan l'a utilisée pour passer le permis qui devient ainsi une formalité; Bego, Natacha et Maite ont fait leurs premiers tours de 2 roues à son guidon. Une vraie bonne à tour faire cette moto.

16) KTM 950 sm   /   2007 - 2010

La FZ m'ennuyant, et partant du constat que la puissance importe peu pour s'amuser, j'ai cherché une moto plaisir, ludique, amusante, une moto capable de procurer des sensations sans aller chercher des vitesses irresponsables.
Cette KTM correspond tout à fait à ces critères; le moteur est toujours disponible; le poignet droit est en prise directe avec la roue arrière, pas de temps de réaction, le moindre mouvement d'ouverture ou de fermeture des gaz se traduit par un effet immédiatement ressenti; du vrai bonheur.

Le freinage est très puissant, surtout l'avant, mais facile à doser malgré tout. On pourrait se contenter du seul frein avant si la plongée de la fourche n'était pas aussi brutale, déstabilisant l'équipage au point qu'on en vient vite à utiliser le frein arrière juste un poil plus tôt que le frein avant, histoire d'assoir un peu la moto sur sa roue arrière avant la plongée de l'avant, ce qui est bien plus sécurisant.

Pour le reste : les rétros sont efficaces; la finition bonne, les plastiques finalement pas si kitchs que ça, et le design hyper-agressif finit par plaire.

Après 3 ans, il était temps de changer; mais pour quelle moto ?
Aucune moto essayée ne me procurait autant de plaisir que cette sm, notamment grâce à son moteur si expressif. Le jour où je me suis résolu à ne plus essayer de la vendre, un acheteur s'est présenté et je l'ai quand-même laissée partir ... sans remplaçante !

KTM 950 sm
KTM 990 SuperDuke

17) KTM 990 SuperDuke   /   2010 - 2013

Je me suis donc retrouvé sans moto en juillet ! Il fallait faire vite.
Au final, je me suis souvenu qu'en 2007, j'avais essayé la SuperDuke avant de choisir la sm "par sagesse". La SuperDuke 2010 n'a que peu évolué depuis 2007 et c'est donc sans l'essayer que je l'ai commandée. Les coloris 2010 ne ma plaisant pas, j'ai opté pour un modèle 2009.

Avec la sm et ses carbus, tout était synchrone, le poignet droit, le bruit et la roue arrière; avec la SD et son injection, il y a un décalage perturbant entre le rotation du poignet et la réaction à la roue arrière, surtout à l'accélération; plus surprenant encore est le bruit: quand on ouvre les gaz, on entend un roaaaah un peu avant de ressentir une accélération, juste une fraction de seconde, mais ça m'a gêné au début; on s'y fait évidemment très vite. Il est clair, cependant, que la SD accélère plus fort (mais moins brutalement) que la sm.
Autre différence : le frein moteur de la SD est moins puissant que celui de la sm; un autre effet de l'injection peut-être.

Par contre, j'ai retrouvé avec plaisir la position de conduite et le style roadster; les freinages étaient enfin comme je les aime, sans mega-plongée de l'avant. Les freins sont juste excellents, puissants et faciles à doser.
Question confort de selle, c'est assez bon et Natacha dit que la place arrière est plus confortable que sur la sm.
Les suspensions sont du genre fermes, privilégiant les routes sans défauts; dès que le revêtement se dégrade, la moto devient difficile à piloter.

18) KTM 690 Duke   /   2013 - 2015

J'ai essayé la 690 Duke par curiosité... pour prouver que ce n'était pas une moto pour moi.
Ce fut tout le contraire; j'ai été conquis par cette 690 Duke, surtout par son châssis;
la liaison au sol n'est pas loin d'être parfaite pour moi; bonne lecture du revêtement, légèreté, prise d'angle facile, maniable; le freinage est très performant et demande très peu d'effort;
suspensions très correctes, certes sans réglages, mais vu qu'elles sont très bien d'origine...
Il n'y a que le moteur qui m'ait fait hésiter; en effet, il n'est pas très souple et n'aime pas les bas régimes; il faut s’habituer à rouler au-dessus de 3'500 tours/minutes. Son bruit n'est pas très beau, trop étouffé, assez décevant, même avec le pot Acrapovic; on entend trop de bruits mécaniques.
Les vibrations du gros mono m'ont dérangé au début, mais ce moteur est incroyable ! Il pousse pas mal du tout et a une belle allonge. Pour autant que l'on évite de descendre trop bas dans les tours, il vous catapulte jouissivement en sortie de virage.
J'ai encore perdu en frein moteur... mais les freins sont tellement bons, avec tellement peu de mouvement d'assiette, que ce n'est pas vraiment un handicap.
Au niveau modernité, mentionnons, entre autres :
ABS : rassurant, utile en cas d'obstacles surprises, lorsque l'on saute sur les freins par réflexe. En conduite rapide, je trouve que c'est assez gênant; je n'aime pas cette sensation de lâcher de frein involontaire.
Mapping : 4 programmes, bad fuel, rain, hard, normal. Le switch se trouve sous la selle passager ... non seulement mal placé, mais vraiment difficile d'accès, bouton rotatif minuscule, chiffres et repère très petits... bref, pas le truc que l'on va modifier fréquemment... un peu couillon...
Ride-by-wire : une vraie réussite en mode rain; pas de temps de réaction et douceur en remise des gaz (appréciable sur l'angle). En mode normal et hard, c'est plus cahoteux.
Embrayage anti-dribbling : j'avoue ne pas comprendre l'utilité d'un anti-dribbling sur cette moto vu le faible frein moteur, mais il faut croire qu'il y a des massacreurs qui rétrogradent à très hauts régimes.
Globalement donc, extrêmement positif, j'ai été très content d'avoir changé de la 990 à la 690. Certes, moins de puissance, moins de prestige, mais plus de plaisir.

Photos prises lors de mes balades avec cette moto >>> Album KTM 690 Duke 

KTM 690 Duke
MT-09

19) Yamaha MT-09   /   2015 à ce jour

Yamaha a enfin conçu une moto amusante !
Légère, moteur très expressif, feinage très sûr et facilité de prise en main; une vraie réussite.
Lors de mon essai (140km), j'ai vraiment souffert du postérieur... j'ai donc tout de suite commandé la selle confort. Mais c'est une vraie arnaque ! selle confort ? elle n'en a que le nom !!!!!
Avec les suspensions d'origine, cette moto n'aime pas les revêtements dégradés, ce qui est gênant car c'est mon terrain favori; tenir une trajectoire sur route bosselée est impossible, limite dangereux, même en durcissant les réglages.
J'ai remplacé l'armortisseur par un Ohlins et ajouté une cartouche Yamaha dans le 2e tube; c'est infiniment mieux, surtout l'arrière.
Question wheeling, c'est assez facile : aux gaz seuls en 1ère et avec l'embrayage en 2ème

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Photos prises lors de mes balades avec cette moto >>> Album Yamaha MT-09